Monsieur Tokbar a pour habitude de faire du neuf avec du vieux. Il recycle et recompose. Il en va de même pour sa mémoire : c’est un adepte du folklore inventé. Un jour, son side-car tombe en panne de moteur. Il décide de passer la nuit à veiller sur son précieux véhicule, pour l’accompagner jusqu’au dernier souffle. Cette pénurie d’essence va le lancer en quête des sens, en quête de sens. Le voilà transporté dans une drôle de fable, où les époques s’entrechoquent. L’incertain Monsieur Tokbar rendra ainsi des visites de courtoisie au Roi Arthur, à Neil et Louis Armstrong… Une épopée ludique qui s’adresse aussi bien aux enfants qu’aux adultes !

Quelle poésie dans ce voyage en Turaquie

Résolument moderne, voici un Dom Juan made in 2019. Loin du faste lié à son titre, celui-ci ne vit pas dans un château mais dans un petit deux-pièces où traînent cadavres de bouteilles, revues politiques, de mode, de sport et quelques images révolutionnaires. À la recherche de nouveaux codes et modes de relations entre les individus, la société dans laquelle il évolue est déboussolée… et lui aussi. Un théâtre ludique, baroque et charnel autour de la figure d’un homme en quête de son être.

Bien mais sans plus

Et si notre réalité n’était qu’une fabrication du cerveau ? Ancien biophysicien spécialisé dans la plasticité cérébrale, aujourd’hui acteur, Yvain Juillard nous propose d’interroger le fonctionnement de notre cerveau afin de questionner la nature multiple de la réalité. Le cerveau, siège de notre mémoire, de nos perceptions, de notre identité, demeure cet organe à la fois intime, mystérieux car méconnu par la plupart d’entre nous. À travers des expériences simples et ludiques, ce spectacle inclassable désire transmettre au public les dernières connaissances scientifiques en la matière.

Bien mais sans plus

États-Unis, 1968. Martin Luther King est assassiné et la lutte pour les droits civiques des Noirs secoue le pays. Le couple Romain Gary et Jean Seberg recueille un chien qui, en apparence si doux et affectueux, se révèle agressif et sauvage. Comment sortir de la haine ? Comment ne pas désespérer ? Créatures de papier froissé, projections vidéo, musiques jouées en direct : commence alors une épopée digne d’un film à suspense pour essayer de comprendre et tenter de guérir l’animal... Un défi qui nous tient en haleine !

C'est entre filles que nous sommes allées voir ce spectacle. Génial pour les décors, génial pour la musique, génial pour les acteurs GENIAL

Comment s’entendre quand les murs sont hauts ? Quelle langue choisir ? Comment aller au-delà des stéréotypes ? Les deux danseurs tendent leur corps, comme deux miroirs déformants, où l’on se découvre davantage que l’on se reconnaît. Ils se portent, s’envolent, tombent, ne se supportent plus, puis se relèvent et marchent ensemble. Accompagnés d’éclats de textes de Fabrice Melquiot, ils cherchent dans un geste, un saut, une course, un souvenir d’enfance, un pays à habiter avec l’autre, avec les autres.

Premier spectacle avec notre sauterelle n°3 revenue d'Afrique du Sud après un an d'absence.

Quelle poésie !

La Traviata

de Giuseppe Verdi – Direction artistique Nelly Heuzé, Choeur d’Orphée / Ville du Mans

Thierry Balasse – Cie Inouïe

Camarades

Cie les Maladroits